Et maintenant, de Denis Peiron
et maintenant
orphelin
dans le ventre de la ville
qui t’a porté
tu cherches les visages
tu les chercheras longtemps
seul le souvenir sait dire l’étreinte
et les bras nus du vent
qui poussent vers la mer
//seul le souvenir sait dire l’étreinte
RépondreSupprimeret les bras nus du vent//
la mémoire ... Peut être est-ce à la fois notre secours et notre affliction
que serions nous sans ? et pourtant, en elle, comme dans votre poème, tant de non dits !
ces deux vers m'ont particulièrement touchée (émue) Ils peignent avec justesse ce que la mémoire donne et ce qu'elle ne peut (et parfois ne doit pas) restituer
Respects